A Sunday with my old buddy Art Bakley

Moanin’ – Art Blakey

Art Barkley et le jazz, c’est l’expression de l’âme humaine en musique, la liberté de l’improvisation et le souffle de l’émotion…

Le jazz, c’est l’art de la conversation sans fin entre les notes qui s’envolent dans les airs tout en s’entrelaçant et s’enlaçant en une danse enivrante. C’est le souffle chaud du cuivre doré des saxophones qui évoquent les plus profondes émotions, le martèlement cadencé des cymbales qui fait battre les coeurs à l’unisson, la mélodie des pianos qui fait vibrer notre âme et la voix profonde de la contrebasse qui guide chaque note vers une harmonie parfaite.

Le jazz, c’est une musique qui respire la liberté, l’expression de soi, l’audace de l’improvisation et la beauté de l’instant présent. C’est l’essence même de l’émotion musicale, la transcendance de nos sens et la quintessence de la vie elle-même.

Le jazz, c’est la poésie qui se joue, se chante et se danse en musique, une poésie qui touche nos âmes et nos coeurs, et qui nous emporte dans un voyage sonore inoubliable.

Le jazz, c’est la musique qui donne vie à nos rêves les plus fous, les plus doux, qui apaise nos peines les plus profondes et qui célèbre nos joies. C’est l’art qui traverse les époques, les frontières et les cultures pour nous offrir une expérience musicale intemporelle et universelle.

Moanin’ – Art Blakey & the Jazz Messengers – Live

Art Bakley

Le jazz, c’est LE son de la liberté ! C’est une conversation sans fin entre les musiciens, qui se répondent en improvisant avec leur cœur et leur âme. Et personne ne savait mieux comment mener cette conversation que le légendaire batteur Arthur « Art » Blakey.

Né en 1919 à Pittsburgh, en Pennsylvanie, Art Blakey a commencé à jouer de la batterie dès son plus jeune âge. Très vite, il a su que la musique serait sa vie. Il a parcouru les États-Unis avec les plus grands noms du jazz, de Dizzy Gillespie à Thelonious Monk en passant par Miles Davis.

Mais c’est en 1953 que Blakey a fondé son propre groupe, les Jazz Messengers. Pendant des décennies, il a dirigé cette formation, qui a servi de tremplin à certains des plus grands talents du jazz, comme Wayne Shorter, Freddie Hubbard et Wynton Marsalis. Le son de Blakey était puissant et rythmé, mais toujours empreint d’une profonde émotion.

Et puis il y avait cette façon qu’avait Blakey de sourire en jouant, comme s’il était en train de communier avec quelque chose de plus grand que lui. On disait de lui qu’il était un musicien de jazz « à l’ancienne », mais pour Blakey, le jazz était toujours frais, toujours nouveau, toujours rempli de possibilités.

Aujourd’hui, le nom d’Art Blakey reste synonyme de jazz de qualité, de liberté musicale et de passion. Il est décédé en 1990, mais son héritage musical est immortel. Comme il l’a dit lui-même : « Le jazz lave l’âme de la poussière de la vie quotidienne ».

Et chaque fois que nous écoutons le son de sa batterie, nous sommes transportés vers un endroit plus heureux, plus libre, plus vrai. Un endroit où les seules limites sont celles de notre imagination. Un endroit où la musique nous emporte et nous libère. Comme Art Blakey l’a fait tout au long de sa vie, il nous invite à rejoindre cette conversation éternelle du jazz.

Moanin’

« Moanin' » est sans doute l’un des morceaux les plus emblématiques d’Art Blakey et des Jazz Messengers. Composé par le pianiste Bobby Timmons, le titre est sorti pour la première fois en 1958 sur l’album éponyme des Jazz Messengers. Depuis lors, il est devenu l’un des standards du jazz les plus célèbres de tous les temps.

Le morceau commence par une introduction de batterie puissante et rythmée, qui donne le ton pour le reste de la pièce. Puis, le thème principal est introduit par les cuivres, qui alternent entre des phrases mélodiques et des accords puissants.

Ce qui rend « Moanin' » si spécial, c’est la façon dont les solos s’entrelacent de manière cohérente et harmonieuse. Chaque musicien apporte sa propre touche personnelle au morceau, mais tous se rejoignent pour créer une symphonie collective captivante.

Le solo de saxophone de Benny Golson, qui intervient après le thème principal, est particulièrement remarquable. Il commence par des notes douces et langoureuses, puis monte en intensité pour finir en un crescendo émouvant. Le solo de trompette de Lee Morgan est tout aussi impressionnant, avec des notes aiguës et puissantes qui viennent se mêler à la batterie toujours aussi entraînante.

« Moanin' » est un exemple parfait de la façon dont le jazz peut être à la fois complexe et accessible. Le morceau est facile à suivre, mais il contient également suffisamment de variations et de surprises pour maintenir l’attention de l’auditeur tout au long de ses plus de neuf minutes. C’est un classique du jazz pour une raison : il est intemporel, émouvant et plein de vie.

John Ibonoco

Art Barkley and jazz

Moanin’ – Art Blakey

Art Barkley and jazz, it is the expression of the human soul in music, the freedom of improvisation and the breath of emotion…

Jazz is the art of endless conversation between notes that fly through the air while intertwining and entwining in an intoxicating dance. It is the warm breath of the golden brass of the saxophones that evokes the deepest emotions, the rhythmic pounding of the cymbals that makes our hearts beat in unison, the melody of the pianos that makes our soul vibrate and the deep voice of the double bass that guides each note towards a perfect harmony.

Jazz is a music that breathes freedom, self-expression, the audacity of improvisation and the beauty of the present moment. It is the essence of musical emotion, the transcendence of our senses and the quintessence of life itself.

Jazz is poetry played, sung and danced to music, poetry that touches our souls and hearts, and takes us on an unforgettable journey of sound.

Jazz is the music that gives life to our wildest and sweetest dreams, that soothes our deepest sorrows and celebrates our joys. It is the art that crosses time, borders and cultures to give us a timeless and universal musical experience.

Moanin’ – Art Blakey & the Jazz Messengers – Live

Art Bakley

Jazz is the sound of freedom! It is a never-ending conversation between musicians, who answer each other by improvising with their hearts and souls. And no one knew how to carry on that conversation better than legendary drummer Arthur « Art » Blakey.

Born in 1919 in Pittsburgh, Pennsylvania, Art Blakey began playing drums at an early age. He knew early on that music would be his life. He toured the United States with some of the biggest names in jazz, from Dizzy Gillespie to Thelonious Monk to Miles Davis.

But it was in 1953 that Blakey founded his own band, the Jazz Messengers. For decades, he led this group, which served as a springboard for some of the greatest talents in jazz, including Wayne Shorter, Freddie Hubbard and Wynton Marsalis. Blakey’s sound was powerful and rhythmic, but always deeply emotional.

And then there was the way Blakey smiled while playing, as if he was communing with something bigger than himself. He was called an « old school » jazz musician, but for Blakey, jazz was always fresh, always new, always full of possibilities.

Today, the name Art Blakey remains synonymous with quality jazz, musical freedom and passion. He died in 1990, but his musical legacy is immortal. As he said himself, « Jazz washes the dust of everyday life from the soul.

And every time we listen to the sound of his drums, we are transported to a happier, freer, truer place. A place where the only limits are those of our imagination. A place where the music takes us away and sets us free. As Art Blakey did throughout his life, he invites us to join this eternal conversation of jazz.

Moanin’

« Moanin' » is arguably one of the most iconic pieces by Art Blakey and the Jazz Messengers. Composed by pianist Bobby Timmons, the song was first released in 1958 on the Jazz Messengers’ self-titled album. Since then, it has become one of the most famous jazz standards of all time.

The piece begins with a powerful and rhythmic drum introduction, which sets the tone for the rest of the piece. Then the main theme is introduced by the brass, which alternates between melodic phrases and powerful chords.

What makes « Moanin' » so special is the way the solos intertwine in a coherent and harmonious way. Each musician brings his or her own personal touch to the piece, but all come together to create a captivating collective symphony.

Benny Golson’s saxophone solo, which comes after the main theme, is particularly remarkable. It begins with soft, languid notes, then builds in intensity to a moving crescendo. Lee Morgan’s trumpet solo is equally impressive, with high, powerful notes that blend with the ever-driving drums.

« Moanin' » is a perfect example of how jazz can be both complex and accessible. The song is easy to follow, but it also contains enough variation and surprises to keep the listener’s attention throughout its nine-plus minutes. It’s a jazz classic for a reason: it’s timeless, moving and full of life.

John Ibonoco

4 commentaires Ajouter un commentaire

  1. I LOVE Art Blakey and used to play him a lot on Sunday mornings as well over a cup of coffee or tea.

    Aimé par 1 personne

    1. ibonoco dit :

      Thank you for your words.
      It’s a good thing to start your Sunday with a good coffee or tea to good music.

      J’aime

  2. ramrock dit :

    A reblogué ceci sur Ramrock's Bloget a ajouté:
    #Jazz

    Aimé par 1 personne

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