Ma colère, mon amie, ma sœur…

Ma colère, mon amie, ma sœur, ne reste pas là plantée à ne rien faire. Va-t-en rejoindre d’autres têtes ou d’autres cœurs que tu pourras enserrer violemment jusqu’à l’asphyxie. Je ne veux plus être ton hôte ni même ton compagnon de route : je ne partagerai plus le pain avec toi, plus rien ! Tu en as…