Un grand bureau vide, trois écrans d’ordinateur, une lampe au néon éblouissante, un poste de téléphone, de grandes baies vitrées surplombant de cinq étage une rue déserte à la nuit tombée, Lyon s’endort dans les bras d’un soir d’automne à peine réchauffé par les rayons timides d’une journée encore ensoleillée. L’esprit s’éveille au monde invisible…