UNE PRIÈRE Je me réveille à l’aube et ma prièreEst un poison amer.J’appelle le déluge une nouvelle foisA projeter plus haut que les tours et les toitsTous les flots de la mer,Que ne puisse voguer nulle arche secourable. Oh ! comme il sera bon le frôlement glacéDe la mort.Peut-être éteindra-t-il la souffrance amasséeDans son corps.Les décombres…