SUR LE SABLE Sur le sable fin de mes fragiles et courtes nuits Je m’allonge lourdement et éreinté sur ton lit Ton oreiller pour ami, ton parfum pour rêve. Et d’un battement de paupière je capture ton souffle Lorsque le mien s’arrête sur une vie parfois lasse De n’avoir pas su venir plus tôt…