« Je croirais vraiment à la liberté de la presse quand un journaliste pourra écrire ce qu’il pense vraiment de son journal. Dans son journal. »
Guy Bedos (1934 – 2020) est un célèbre humoriste, acteur et scénariste français. Au début des années 50, il choisit d’étudier le théâtre. Il croisera sur sa route le poète Jacques Prévert qui l’incitera à écrire des sketches. En 1965, il débutera sa carrière au music-hall avec la chanteuse Barbara. Dans les années 70, il jouera dans les films d’Yves Robert : Un éléphant ça trompe énormément (1976) et Nous irons tous au paradis (1977).
« I’ll really believe in freedom of the press when a journalist can write what he really thinks about his newspaper. In his newspaper. »
Guy Bedos (1934 – 2020) is a famous French humorist, actor and screenwriter. In the early 50s, he chose to study theater. He will cross on his way the poet Jacques Prévert who will encourage him to write sketches. In 1965, he began his career in the music hall with the singer Barbara. In the 70s, he played in the films of Yves Robert: Un éléphant ça trompe énormément (1976) and Nous irons tous au paradis (1977).
🙏💜🙏
J’aimeAimé par 1 personne
😉😉
J’aimeAimé par 1 personne
Ce serait amusant ! Il faudrait leur suggérer.
J’aimeAimé par 1 personne
Malheureusement, je suis certain qu’ils connaissent déjà cette citation. 😉
J’aimeAimé par 1 personne
Ce serait amusant ! Il faudrait leur suggérer.
J’aimeAimé par 1 personne
Ce serait amusant ! Il faudrait leur suggérer.
J’aimeAimé par 1 personne
Ce n’est pas faux !
Bonne journée, John.
J’aimeAimé par 1 personne
Bonne journée Jean-Louis
John
J’aimeJ’aime
Well said, and valid in any age, sadly.
J’aimeAimé par 1 personne
Indeed, freedom of the press is a precious common good easily manipulated today.
J’aimeJ’aime
Un peu dur… On peut aussi supposer que si un journaliste écrit dans un journal, c’est que le journal lui plait!
J’aimeAimé par 1 personne
Ou qu’il a faim et que c’est un moyen de remplir son frigo.
J’aimeJ’aime
L’équilibre est un art difficile. Entre une liberté parfois relative de la presse et le grand foutoir infernal des réseaux sociaux, mon choix est vite fait. Sans cette presse imparfaite, que saurions-nous du monde ?
J’aimeAimé par 1 personne
C’est plutôt bien vu. La liberté de ma presse peut évoluer dans le temps, au cours des évolutions politiques, numériques….
La perfection est une idéalité. Et c’est encore plus vraiment matière de presse.
J’aimeJ’aime
A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci
J’aimeJ’aime
Cela a tout à fait du sens, en effet !!!
Bon vendredi John,
Amitiés 😘
J’aimeAimé par 1 personne
Bonne journée Colette,
Avec un peu de retard 😉
J’aimeAimé par 2 personnes
De fait. J’ai connu des collègues qui l’ont fait et ça s’est mal terminé. Ceci dit, ce n’est pas l’apanage de la presse. Critiquer l’entreprise pour laquelle on travaille, vaut généralement une mise à pied, voire un licenciement.
J’aimeAimé par 1 personne
Hé oui, aujourd’hui, on parle de loyauté, de fiabilIté.
J’aimeJ’aime