« Il ne suffit pas d’être con. Il faut être fier de l’être. »
François Cavanna (1923 – 2014) est un écrivain, journaliste et dessinateur humoristique français. En 1943, il sera requis pour le Service du Travail Obligatoire (STO) et envoyé à Berlin dans le camp de Baumschulenweg où il travaillera pour l’usine de munitions Graetz. Après la guerre, en 1954, il collaborera au magazine Zéro où il rencontrera Georges Bernier. Avec ce dernier – qui prendra le nom de professeur Choron – , ils fonderont en 1960 le magazine Hara-Kiri, puis Hara-Kiri Hebdo ainsi que le mensuel de bande dessinée Charlie en 1969. A la mort du général de Gaulle, Hara-Kiri Hebdo sera interdit pour avoir publié dans ses colonnes : « Bal tragique à Colombey – un mort ». En 1970, c’est dans ce contexte que Cavanna et Bernier lanceront leur nouveau journal hebdomadaire Charlie Hebdo.
« It’s not enough to be a jerk. You have to be proud of it. »
François Cavanna (1923 – 2014) is a French writer, journalist and cartoonist. In 1943, he was required for the Service du Travail Obligatoire (STO) and sent to Berlin to the Baumschulenweg camp where he worked for the Graetz ammunition factory. After the war, in 1954, he worked for the magazine Zéro where he met Georges Bernier. With the latter – who took the name of Professor Choron – they founded the magazine Hara-Kiri in 1960, then Hara-Kiri Hebdo and the monthly comic strip magazine Charlie in 1969. At the death of General de Gaulle, Hara-Kiri Hebdo was banned for having published in its columns: « Tragic Ball at Colombey – a dead man ». In 1970, it is in this context that Cavanna and Bernier launched their new weekly newspaper Charlie Hebdo.
Pour en être fier, encore faut-il en être conscient … ce qui n’est pas nécessairement donné à tous les cons !
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Bien vu André. Je pense qu »il s’adressait à l’élite des cons, ceux qui en sont conscients… et il devait penser qu’il y en avait très peu.
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Dans West side story, deux gangs s’affrontent : les Jets et les Sharks. En contrepéterie, il pourrait s’agir des Jerks et des Sharts (des droits de l’Homme, phonétiquement bien sûr).
Tout d’un coup je me sens fier d’avoir écrit une connerie! 😛
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Et tu peux être fier.
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Sinon à quoi bon faire le con.
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il paraît que ça rend intelligent, mais j’ai pas essayé!
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Alors, on peut toujours essayer.
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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Bonne journée
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moi j’en ai bien conscience, et ne suis pas trop fière de l’être….
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Je pense que le plus important, c’est d’être conscient de sa propre connerie. Ainsi, on.peut encore caresser l’espoir d’une évolution ou… d’une involution
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et oui, j’espère toujours……
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Intéressant, je suppose qu’il y a une part d’ironie!
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À mon avis, certainement.
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Bon jour John,
Un jour, sur un parking, à me garer, un homme sort de sa voiture et me traite de con, je sors de ma voiture et lui réponds : « Monsieur Du Con, s’il vous plaît » 🙂
Max-Louis
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C’était la réponse adéquate, il me semble.
Bon après-midi Max-Louis
John
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Bon après-midi également, John
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Comme on est toujours le con de quelqu’un d’autre, faut-il en être fier ?
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Bonne question 🙂
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Tant qu’à l’être, pourquoi pas, hein, John !
Si consciemment, bien entendu sinon 😀 …
Bonne soirée de ce dimanche,
Amitiés ❤
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Tu as raison. Tant qu’à l’être, autant en être conscient.
Bonne soirée Colette
Amitiés
John
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